Françoise Babou de La Bourdaisière, Mme d’Estrées (1542-1593)

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francoisebabouDame d’honneur de Marie Stuart, Dauphine (1560), dame d’honneur de Louise de Lorraine (1575-1590)

Née vers 1542
Morte assassinée le 9 juin 1592 à Issoire (Puy de Dome)

Qui diable est Françoise Babou de la Bourdaisière ? Il s’agit tout simplement de la mère de Gabrielle d’Estrées, (maîtresse de Henri IV), qui vécut sa vie amoureuse intensément et devait mourir de façon atroce…

 La famille de Françoise, les Babou trouve ses origines à Bourges : Philibert Babou, le grand père de Françoise était le fils d’un riche notaire de Bourges. L’argent de son père lui permis d’acquérir la charge de maître d’hôtel du roi Charles VIII, et de fréquenter la cour du roi. Désireux d’épouser une riche héritière et d’acquérir un titre, il épousera à Tours en 1509 la très belle Marie Gaudin, dame de la Bourdaisière (dont le château et les terres se situent en Touraine), et déjà maîtresse en titre du jeune François d’Angoulème (futur François 1er).

 Marie Gaudin avait la réputation d’être la plus belle femme de son temps, et son mari, peu jaloux, profita de la faveur de sa femme auprès de son amant devenu le roi François 1er pour acquérir en 1524, le titre de surintendant des Finances, puis le statut de maire de Tours. Le couple Philibert/Marie fut particulièrement prolifique (on verra que c’est le trait caractéristique des Babou) puisqu’ils eurent ensemble 4 garçons et 3 filles.

marie.0.gaudinMarie Gaudin, grand mère de Françoise Babou

 L’aîné des garçons, Jean Babou de la Bourdaisière naît en 1510. Il devient maître de la garde robe du roi Henri II, et lieutenant général du roi en Touraine. Lui aussi veut faire un beau mariage : or, parmi les filles d’honneur de la reine Catherine de Médicis, il en remarque une particulièrement belle, riche et instruite : il s’agit de Françoise Robertet, fille unique de Florimond Robertet, seigneur d’Alluye, secrétaire d’état. Elle a vingt ans, il en a vingt neuf lorsqu’ils se marient à Blois le 6 décembre 1539. Elle lui apporte en dot la terre d’ Alluye.

 Leur premier enfant, Georges Babou de la Bourdaisière naît en 1540, leur deuxième enfant Jean Babou de la Bourdaisière, naît en 1541. Lorsque Françoise Robertet est de nouveau enceinte en 1542, elle accouche cette fois d’une fille : il s’agit de Françoise Babou de la Bourdaisière.

jean.0.babou_de_la_bourdaisiereJean Babou de La Bourdaisière, père de Françoise Babou

 Le couple Jean Babou/Françoise Robertet aura en tout onze enfants (dont sept filles qui seront surnommées « les sept pêchés capitaux » du fait de leurs moeurs légères). Tallemant des Réaux soulignera que la race des Babou était « la race la plus fertile en femmes galantes qui aient jamais été en France ». L’ironie voulait que le blason des Babou soit une main tenant une poignée de vesces (la vesce étant un légume à bétail, mais aussi en langue vulgaire une prostituée de bas quartiers).

 La jeune Françoise Babou, est élevée à la cour et devient la compagne de jeu de la jeune Marie Stuart, élevée en France depuis l’age de cinq ans, et qui est destinée à épouser le fils aîné du roi Henri II, le jeune mais fragile dauphin François. Marie Stuart et son époux sont élevés ensemble, et ils sont entourés de jeunes nobles élevés comme eux à la cour, et qui forment leur entourage. Françoise Babou et Marie Stuart ont le même âge et elles ont le même goût pour la littérature, le beau parler et le luxe qui les entoure.

francoise.0.robertetFrançoise Robertet, mère de Françoise Babou

 Si Marie Stuart est amoureuse de son futur époux, Françoise Babou attend encore celui qui saura faire battre son coeur de façon romantique. Lorsque Marie Stuart épouse le Dauphin Francois le 24 avril 1558 sous la voûte de Notre Dame de Paris, Françoise Babou qui assiste à la cérémonie, et qui est resplendissante de beauté, attire l’attention de plusieurs seigneurs de la cour.

 Or, l’un d’eux, impressionnée par la beauté de Françoise, franchit le pas et demande à Jean Babou la main de sa fille aînée. Il s’agit d’Antoine d’Estrées marquis de Coeuvres : il est issu d’une honorable famille picarde, et se destine à une brillante carrière militaire. Le père de Françoise accepte le mariage, et Françoise Babou, résignée, épouse Antoine d’Estrées le 14 février 1559 à Chartres : elle a dix sept ans, il en a trente.

 Dès le début, le mariage ne fonctionne pas ; Françoise Babou, élevée à la cour des Valois, a l’habitude du beau langage et des sonnets qui soulignent sa beauté. Mais son mari est un militaire, de plus, il possède un tempérament taciturne et morose. La jolie marquise de Coeuvres va alors se lancer dans les plaisirs de la cour, les bals, et les concours de sonnet en compagnie de son amie la Dauphine Marie Stuart.

antoine.4.d_estreesAntoine d’Estrées, marquis de Coeuvres, mari de Françoise Babou

 Cinq mois après son mariage, Françoise Babou assiste, horrifiée, à la mort du roi Henri II lors d’un tournoi à Paris : la lance de son opposant lui ayant perforée l’oeil, le roi meurt quelques jours plus tard dans d’atroces souffrances. Le jeune Dauphin devient alors François II et Marie Stuart est la nouvelle reine de France. Elle s’empresse, lors de la constitution de sa maison, de faire de Françoise Babou une de ses dames d’honneur. Mais à la fin de l’année 1560, François II meurt, victime d’une longue maladie à Orléans, et Marie Stuart, devenue veuve, est renvoyée en Ecosse.

 Françoise Babou se retrouve dans une cour bouleversée par tant de deuils, et assiste au couronnement de Charles IX, le frère cadet de François II. Elle n’apprécie pas particulièrement le nouveau roi, et elle lui préfère nettement son jeune frère Henri, duc d’Orléans (futur Henri III).

henriiii-1576Henri de Valois (futur Henri III)

 Celui-ci est un joyeux luron, amateur de jolies femmes, de bals et de joutes. Il est toujours accompagné par son meilleur ami, qu’il a fait capitaine de sa garde, Louis de Bérenger du Guast. Or, celui-ci a remarqué la jolie marquise de Coeuvres, et comme il est ami avec Brantome et Ronsard, il leur demande de composer, en son nom, des poèmes célébrant la beauté de Françoise.

 Ronsard s’exécute le premier et compose les sonnets pour « Astrée » (le surnom de Françoise Babou) :

 

plus que mes yeux j’aime tes beaux cheveux

liens d’amour que l’or même accompagne

comment n’aurais je une bonne aventure

quand j’ai toujours mon astre entre les mains

Françoise Babou, charmée, cède à la tentation, et devient la maîtresse de Louis de Bérenger du Guast.

 Aux fêtes de Fontainebleau en mars 1564, elle apparaît dans un bal de la cour, vêtue d’une robe ornée de diamants figurant une Dame qui baise en l’armant un Chevalier errant portant casque et cuirasse, qui n’est autre que Louis de Bérenger déguisé. Dès lors, leur liaison devient publique.

3_KlzPqLe chateau royal de Fontainebleau

 Le mari, Antoine d’Estrées, fréquemment absent, ferme les yeux. Pour l’instant leur mariage n’a donné le jour qu’à une fillette, Marie Catherine, née en 1562 et qui vient de décéder. Or, dans les huit années qui vont suivre, Françoise Babou va donner naissance à Marguerite d’Estrées (1565), Diane d’Estrées (1566), et Angélique d’Estrées (1570) s’attirant cette réflexion acide de son mari : « Hé Madame, pourquoi ne me faites vous que des filles ! », à quoi Françoise Babou lui répondra : « le choix ne vient pas de moi ! ».

Francois_Dubois_001Le massacre de la Saint Barthélémy en août 1572 à Paris

 Le 24 août 1572 a lieu la terrible nuit de la Saint Barthélémy à Paris : à l’occasion des noces de Marguerite de Valois (soeur de Charles IX, et la fameuse « Margot ») avec Henri de Navarre (futur Henri IV), les catholiques ont vu un nombre impressionnant de seigneurs protestants assister à l’union de leur roi. La plupart des chefs protestants sont venus en masse à Paris assister à ce mariage politique.

 C’est l’occasion rêvée pour le roi Charles IX et sa mère, Catherine de Médicis, de faire d’une pierre deux coups : anéantir les chefs protestants réunis à Paris, et forcer les autres à se convertir au catholicisme. Le massacre des protestants est déclenché dans la capitale, trois jours après les noces. L’amant de Françoise Babou, Louis de Bérenger, s’y distinguera par sa sauvagerie et sa brutalité à la tête de sa compagnie d’hommes, armée de piques et d’arbalètes. L’avenir semble alors radieux pour l’amant de Françoise : il est toujours fou amoureux d’elle, et la mort impromptu de Charles IX, quelques mois après la St Barthélemy, va propulser sur le trône son ami, le prince Henri, qui va devenir le roi Henri III.

225px-Catherine_de_MedicisLa reine Catherine de Medicis

 Aussitôt, les faveurs vont pleuvoir sur le couple illégitime : Françoise Babou va devenir dame d’honneur de la nouvelle reine, Louise de Lorraine, que le roi épouse le 15 février 1575, et Louis de Bérenger voit son amitié confirmée en obtenant un appartement au Louvre, mitoyen de celui de la marquise de Coeuvres.

 Ivre de ses succès, Louis de Bérenger va cependant commettre un impair : pour une raison inconnue, il déteste Marguerite de Valois, la nouvelle reine de Navarre, et il va s’empresser de révéler au nouveau roi la liaison de sa soeur avec le flamboyant Bussy d’Amboise. Henri III le prend fort mal, et injurie publiquement sa soeur devant toute la cour. Celle-ci apprend qui a livré l’information, et considère bientôt Louis de Bérenger et Françoise Babou comme ses ennemis personnels. Les deux femmes ne s’appréciaient déjà pas beaucoup (leur beauté les mettant en compétition) mais maintenant Marguerite de Valois interpelle la marquise de Coeuvres, en visite chez la reine mère : « tiens, voilà la garce du capitaine ! » ; à quoi Françoise Babou rétorque : « j’aime mieux l’être du capitaine que du général ! (en sous entendant que Margot couchait avec tout le monde)  ».

MargaretevonValoisMarguerite de Valois, la “reine Margot”

 L’ironie veut que la fille de Françoise Babou, Gabrielle d’Estrées, devienne plus tard la favorite du mari de Marguerite de Valois, le roi Henri IV.

 Pour l’instant, la reine Margot ne pense qu’à se venger. En octobre 1575, la vengeance de celle-ci s’organise : elle demande à l’un de ses familiers, Guillaume du Prat, baron de Vitteaux (un habile duelliste toujours prêt à se battre à la moindre provocation) de la débarrasser de du Guast.

 A la nuit tombée, le baron de Vitteaux pénètre en coup de vent chez Louis de Bérenger vers dix heures du soir, et le transperce brutalement de son épée alors que ce dernier était dans son bain.

louis.0.de_berengerLouis de Bérenger, seigneur du Guast

 Le roi Henri III est indigné par le meurtre de son ami, mais n’a pas de preuve pour inculper Vitteaux. Quant à Françoise Babou, elle est anéantie par la mort de son amant. Elle se retire un temps au château de Coeuvres, près de Soissons avec les trois enfants à qui elle a donné naissance depuis la Saint Barthélémy : une fille Gabrielle (née en 1573) et deux fils : François Hannibal (né en 1574) et François Louis (né au début de l’année 1575).

 Pendant huit ans, Françoise Babou va attendre sa revanche contre le baron de Vitteaux tout en continuant à assurer son rôle de dame d’honneur auprès de la reine Louise. Elle mettra au monde un huitième enfant : Julienne Hippolyte qui naîtra en 1580. Et puis, le 7 août 1583, elle apprend que le baron de Vitteaux (qui était pourtant une fine lame) vient d’être tué en duel par un jeune noble auvergnat âgé de vingt trois ans : Yves IV d’Allègre, venu venger la mort de son père, tué quelques mois auparavant par Vitteaux.

 Impatiente de rencontrer celui qui a vengé la mort de son amant assassiné, Françoise Babou se rend, masquée, au domicile du jeune d’Allègre et lui propose une bourse de mille écus pour le remercier. Le jeune homme, surpris, rejette l’offre de la belle inconnue, et lui demande d’enlever son masque. Françoise Babou obéit, et la beauté de la marquise de Coeuvres charme sur le champ le jeune seigneur.

indexLe duel

 La marquise, de son côté n’est pas insensible à la prestance du jeune homme : elle ne devait pas retourner à son hôtel cette nuit là raconte Bassompière dans ses Mémoires…

 Françoise Babou a quarante et un ans, elle est dans tout l’éclat de sa maturité, le jeune d’Allègre en a vingt trois, et il est fasciné par la science amoureuse de Françoise. De nouveau, Françoise va montrer qu’elle se moque des conventions et s’affiche ouvertement avec son nouvel amant. Antoine d’Estrées, cette fois, est furieux. Il déclame à qui veut l’entendre : « voyez vous cette femme ? Elle fera de ma maison un clapier de putains…. comme elle ! ».

Pendant six ans, la marquise de Coeuvres et le jeune d’Allègre vont vivre leur passion, sans se soucier des qu’en dira t’on.

louise-de-lorraineLouise de Lorraine reine de France, épouse de Henri III

 En 1589, Yves d’Allègre obtient du roi Henri III (juste avant que celui-ci ne soit assassiné par le moine Clément) le poste de gouverneur d’Issoire en Auvergne. Françoise n’a nulle intention d’abandonner son jeune amant, elle quitte définitivement Paris pour suivre son amant en Auvergne, en emmenant avec elle sa plus jeune fille Julienne Hippolyte.

 Elle laisse le soin à sa soeur Isabeau Babou, marquise de Sourdis, d’élever ses autres enfants qu’elle a laissé à Coeuvres : or, cette dernière a une réputation encore plus désastreuse que Françoise puisqu’elle vit ouvertement avec son amant, Philippe Hurault comte de Cheverny, avec l’assentiment de son mari qui préfère les jeunes pages.

 Impatiente de gagner l’Auvergne, Françoise réalise cependant qu’elle est enceinte à nouveau (à 47 ans !) et c’est à Issoire qu’elle mettra au monde sa dernière fille : Marie Françoise. Le père de la petite fille n’est autre que d’Allègre, mais magnanime, Antoine d’Estrées reconnaîtra la fillette quelques mois plus tard. Or, Françoise Babou par sa morgue et son dédain va bientôt précipiter le drame final.

yves.1.d_alegreYves d’Allègre, marquis d’Allègre

 Depuis qu’elle est arrivée à Yssoire dans les bagages de son amant, Françoise, veut y régner en souveraine. Depuis quatre ans, elle règne en reine sur la petite ville. Jalouse et égoïste, elle demande à son amant de publier une ordonnance interdisant aux bourgeoises de la ville d’Yssoire de porter de la soie ou des bijoux. Toute disgression étant punie de mort. Non contente d’accumuler les mécontents, la marquise de Coeuvres ne règle pas ses factures. Une assemblée de marchands venue réclamer à l’hôtel du Gouverneur le paiement des dettes de Mme d’Estrées est rouée de coups.

 La population auvergnate, furieuse, complote sa revanche contre le couple : dans la nuit du 8 juin 1593, une troupe d’inconnus pénètre dans la maison du Gouverneur afin « de tuer le chien et sa chienne » : d’Allègre meurt égorgé dans son lit par un boucher, quant à la marquise de Coeuvres, qui avait trouvé refuge dans la ruelle du lit de sa suivante, elle est traînée dans la chambre malgré ses hurlements, et est tuée d’un coup de couteau en plein coeur. Les conjurés jettent ensuite les cadavres de Françoise et de son amant par la fenêtre, épargnant les deux fillettes (Julienne Hyppolite et Marie Françoise) du sort réservé à leur mère.

gabrielledestrees15Gabrielle d’Estrées, fille de Françoise Babou

 La foule hystérique dépouillera les cadavres, qui furent exhibés nus sur la place publique. On put alors y remarquer la dernière coquetterie de la marquise de Coeuvres : elle avait fait des tresses ornées de rubans de couleur à une certaine partie de son anatomie, pour plaire à son amant. Choquée, la foule enferma les cadavres dans des tonneaux de vin, et leurs corps furent enterrés anonymement dans un cellier du château de Meilhaud.

 Les assassins de Françoise Babou de la Bourdaisière, dame d’Estrées et marquise de Coeuvres furent retrouvés et pendus six mois plus tard.

planissoireLa ville d’Issoire en Auvergne

  Françoise Babou ne connaitra pas le destin fabuleux de sa fille Gabrielle d’Estrées. Celle-ci était devenue depuis avril 1591 la maitresse d’Henri de Navarre, mari de sa rivale, Marguerite de Valois. Ce dernier, devenu roi de France en 1594 sous le nom de Henri IV, était sur le point de faire de Gabrielle d’Estrées une reine de France, lorsque la mort faucha brutalement la jeune femme enceinte pour la quatrième fois du roi, après avoir mangé un citron empoisonné.

Françoise Babou et Gabrielle d’Estrées, mère et fille, auront au moins partagé un point commun : vivre leur vie passionnément jusqu’à leur mort tragique…

Descendants de Françoise Babou de La Bourdaisière (Françoise d’Astrée)

Jusqu’aux petits-enfants.

Françoise Babou de La Bourdaisière, née vers 1542, assassinée le 9 juin 1592, Issoire (Puy-de-Dôme) (à l’âge de peut-être 50 ans), dame d’honneur de Marie Stuart, Dauphine (1560), dame d’honneur de Louise de Lorraine (1575-1590).
Mariée le 14 février 1559, Chartres (Eure-et-Loir), avec Antoine d’Estrées, marquis de Cœuvres, vicomte de Soissons et de Bercy, né vers 1529, décédé le 11 mai 1609 (à l’âge de peut-être 80 ans), grand-Maître de l’Artillerie, gouverneur de la Fère, dont

Mariée le 17 février 1596, Paris (75), avec Jean de Montluc, seigneur de Balagny, de Renel et de Gicourt, prince de Cambrai, marquis de Bus, baron d’Artanne, de Bavay et de Moncel, seigneur de Bohain, de Bournonville, de Colombier, d’Oisy et de Beaurevoir, né en 1545, Condom, Gers, décédé en juin 1603 (à l’âge de 58 ans), gouverneur de Cambrai, dont

Mariée en avril 1592, Noyon (Oise), avec Nicolas d’Amerval, seigneur de Liancourt, baron de Benais, seigneur de Falvy-sur-Somme, gouverneur de Chauny.

Marié le 18 avril 1634, Le Mesnil-Saint-Denis (78, Yvelines), avec Anne Habert, décédée le 16 octobre 1661, dont

Marié le 25 juillet 1663 avec Gabrielle de Longueval, décédée le 11 février 1687, Paris, inhumée, paroisse St Eustache à Paris .

Relation en 1564 avec Louis de Berenger, seigneur du Gua, né vers 1540, assassiné le 31 octobre 1575, à Paris par le baron de Vitteaux, inhumé, à Paris en l’église de St Germain l’Auxerrois (à l’âge de peut-être 35 ans), capitaine des gardes de Henri III.

Relation en 1583 avec Yves d’Alègre, seigneur de Meilhaud(Puy-de-Dôme), baron de Meilhaud(Puy-de-Dôme), marquis d’Alègre, né vers 1560, assassiné le 8 juin 1592, Issoire (Puy-de-Dôme) (à l’âge de peut-être 32 ans), gouverneur d’Issoire.

Total: 32 personnes (conjoints non compris).

4 réflexions sur « Françoise Babou de La Bourdaisière, Mme d’Estrées (1542-1593) »

  1. Bonjour
    Votre site est des plus réussi. Bravo pour la rédaction, la clarté et la présentation des textes et l’iconographie.
    De mon côté, je patauge à chercher la première épouse de Guillaume Chevalier époux en seconde noce de Jeanne Escoreol.
    Meilleurs sentiments .
    RC

  2. Bravo, très joli texte, bien documenté, bien écrit. Il y a juste “sans se soucier des quant dira t’on” (au lieu de “qu’en-dira-t-on”) qui pique un peu les yeux.

  3. Je suis ravie de lire chacun des articles. Ils sont très complet, facile à lire… bref c’est un vrai bonheur pour un passionné d’histoire comme moi. Merci à tous ceux qui participe à la création

  4. Bonjour, et merci pour votre appréciation du site des “Scandaleuses” ! je vous souhaite plein d’agréables découvertes sur le site…. vos encouragements vont certainement m’aider à rédiger d’autres articles, étant l’unique rédactrice de ceux ci …. Bonne lecture !

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