Mary “Moll” Davis (1648-1708)

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Portrait par Peter Lely en 1660

Née à Londres en 1648
Morte à Londres en 1708
Enterrée au cimetière de St Anne Churchyard, Soho, Londres

Les origines de Mary Davis sont très obscures : elle serait née à Londres vers 1648, et sa mère aurait été la maitresse de Thomas Howard, 1er baron Berkshire (1587-1669). C’est cette version qu’elle s’efforcera de répandre tout au long de sa vie. ; pour d’autres biographes, son père était un simple forgeron du Wiltshire, et son premier emploi fut celui d’une laitière. La version de la naissance illégitime semble la plus plausible, car les Howard avaient une forte connection avec les théâtres de Londres. Plusieurs fils du comte de Berkshire écrivirent des pièces soit pour le King’s Theatre (qui était sous le patronage du roi Charles II) ou pour le Duke’s Theatre (sous le patronage de James duc d’York, frère de Charles II) : Robert Howard, entre autre, écrira la pièce dramatique « the Indian Queen ».

Le Duke’s theatre à Londres

A l’âge de douze ans, Mary Davis possédait une voix en or. On lui permit de jouer dans plusieurs petites scénettes où elle développa très vite un autre talent, celui de danseuse. En chantant et en dansant, elle attira bientôt l’œil du directeur du Duke’s Theatre, William Davenat, qui en fit sa maitresse. Lorsque Charles II récupéra son trône en 1660, un vent de liberté souffla dans les théâtres londoniens : auparavant les rôles des femmes étaient tenus par des hommes, mais peu à peu les femmes reprirent leurs rôles de chambrières, de servantes et de maitresses, et ne dédaignaient pas de se montrer sur scène vêtues de vêtements de garçons, ce qui leur permettaient de porter des collants moulants montrant leurs jambes fuselées.

Portrait en 1660 par Peter Lely

Les premières années du règne du roi Charles II furent des années de gaietés et de frivolités qui ramena une foule d’aristocrates dans les théâtres de Londres venus chasser la morosité des dix années du gouvernement de Cromwell. La jeune Mary Davis n’avait aucun talent d’actrice, mais elle sut mettre à profit sa voix et son talent pour la danse dans des rôles chantants qui allaient lui permettre d’attirer la protection d’un riche gentilhomme. En effet, n’étant pas particulièrement jolie, elle savait que la protection de son directeur de théâtre était éphémère et pour être à l’abri du besoin, il lui fallait un riche protecteur. En 1662, à l’âge de quatorze ans, Mary Davis interpréta son premier grand rôle dans « the law against lovers » en tant que Viola où elle dansa et chanta à merveille. Malheureusement, la Peste de Londres en 1666, et le grand feu de Londres chassa Mary de Londres devenue une ville désertée. Elle se retira probablement à la campagne à Tunbridge Wells avec la troupe des comédiens, le temps que la cour de Charles II revienne d’Oxford où elle s’était retirée en septembre 1665. Ce n’est qu’en novembre 1666, que les théâtres réouvrirent et que la vie reprit plus joyeuse que jamais.

Le Grand Incendie de Londres (1666)

Le 7 mars 1667, elle interprétait « the english princess » : sa performance fut saluée par le mémorialiste Samuel Pepys qui assista à la représentation  et écrivit dans son Journal  : « la petite Davis dansa une jigue à la fin de la pièce, et le public fut ravi de la voir danser dans des vêtements de jeune garçon, et il faut avouer que la danse de Mary Davis était bien supérieure à celle de la jeune Nell Gwynn qui avait été réalisée la semaine d’avant, travestie elle aussi en jeune garçon ».

Portrait par Peter Lely en 1665

C’était la première fois que Mary Davis était mis en comparaison avec sa future rivale, Nell Gwynn, actrice du King’s Theatre et qui allait devenir, elle aussi, la maitresse du roi Charles II. En cette année 1667, le roi vivait ses dernières années amoureuses avec sa maitresse officielle, l’altière Barbara Villiers comtesse de Castlemaine. Cette dernière lui avait donné plusieurs enfants, et possédait un tempérament de feu qui lassait souvent le souverain plus enclin à rechercher des compagnes qui le délassaient. La reine, une portugaise du nom de Catherine de Bragance, était une catholique insignifiante qui n’était pas à même de mener une grossesse à terme, et ce depuis son mariage il y avait sept ans.

Le roi Charles II

Pour se détendre le roi venait de prendre pour maitresse une fille d’honneur de sa femme, la jeune Winifred Wells. Les compagnons de débauche du roi l’incitaient à écarter la Castlemaine, qui était ingérable, et qui devenait un gouffre financier. L’un des compagnons du roi, le duc de Buckingham l’incita à aller voir jouer la jeune Mary Davis au théâtre en décembre 1667 dans une nouvelle pièce  « love tricks ».Samuel Pepys, présent lors de la représentation écrit que la danse de Mary Davis (alors habillée en jeune berger) sauva la pièce. Charmé, le roi retourna voir les représentations de « Feign’s innocence » où Mary Davis jouait le rôle de Mrs Millicent, puis celui d’Ariel pour la pièce « the tempest ». Comme Mary Davis était une piètre actrice, elle obtenait des rôles où elle chantait et où elle dansait.

Samuel Pepys, le mémorialiste

Mais c’est à l’issue de son rôle dans « the rivals » où elle joue Celania en janvier 1668 qui allait décider du sort de la jeune femme. Elle chanta alors la chanson « my lodging it is on the cold ground » (qui signifie « je dors sur le sol froid ») et elle dansa sous les yeux du roi charmé, qui dit ont, en fit sa maitresse le soir même lui permettant ainsi de se réchauffer dans le lit royal. En ce début d’année 1668, la cour apprit que le roi avait pris pour maitresse une petite actrice du nom de Mary Davis. La jeune femme vint jouer la pièce « the indian emperor » devant la cour toute entière au palais de Whitehall, c’est-à-dire devant la reine Catherine mais aussi devant la favorite en titre, lady Castlemaine. Samuel Pepys était encore présent pour témoigner de la fureur de la reine :

Barbara Villiers, lady Castlemaine en 1670 par John Michael Wright

«  parmi tous les acteurs de la pièce, il y eut Miss Davis, qui est la garce la plus impertinente qui soit, et encore plus depuis que le roi l’a désigné comme sa maitresse ; le roi ne l’a pas quitté des yeux et lady Castlemaine est apparu mélancolique et sans répartie pendant toute la durée de la pièce et n’a pas souri une seule fois. Le roi a donné à Moll (surnom que Charles II a donné à Mary) une bague de 700 livres qu’elle ne se gêne pas de montrer à tout le monde, et elle souligne que c’est le roi qui le lui a donné ; il a aussi meublé une maison pour Moll qui se situe dans Suffolk Street, et on prétend qu’elle est la bâtarde de lord Berkshire et qu’il a été son maquereau afin de la jeter dans les bras du roi »…

Suffolk Street à Londres

Suffolk Street était alors une rue de Londres située dans Haymarket, et Mary Davis y vivra de 1668 à octobre 1673. Elle quittera la maison de Suffolk pour une maison de St James Square achetée pour 1 800 livres. Elle y restera jusqu’en 1687, et recevra une pension du roi de 1 000 livres par an. Cette maison qui fut démolie en 1847 possédait trois étages et quatre fenêtres spacieuses. En plus de cette maison de Suffolk street qui l’élevait socialement, Mary Davis obtint un carrosse, cadeau roi. En mai 1668, Mary Davis joua dans « she wou’d if she cou’d » en présence du roi et de la reine (qui venait de faire une fausse couche). Furieuse des œillades que Mary décochait à Charles, la reine quitta la pièce.

Catherine de Bragance, reine d’Angleterre

« Miss Davis joua dans la pièce mais au moment où elle s’apprêtait à danser la jigue, la reine s’est levée et est sortie du théâtre, montrant ainsi son déplaisir d’assister à la représentation de la putain du roi, ce qu’elle n’a pas pu supporter ; lady Castlemaine resta jusqu’au bout mais l’on dit que le roi ne la visite plus et elle est apparu mécontente et mélancolique ». (Samuel Pepys). Ce fut la dernière performance de Mary Davis en tant qu’actrice du Duke’s Theatre : l’attention du roi et la pension qu’il lui accordait allait lui permettre de s’installer dans sa maison de Suffolk street, que le roi continua de décorer richement. Il y passa des soirées tranquilles où Mary qu’il avait rebaptisé « Moll » partageait avec lui son autre passion : la musique. Elle était une joueuse de guitare accomplie et le roi adorait cet instrument dont il savait jouer avec beaucoup de talent.  C’est ainsi que cette atmosphère paisible retint le roi dans les moments où il souhaitait se soustraire à la mauvaise humeur de la reine et de la Castlemaine.

Portrait par Peter Lely en 1665

A la fin de décembre 1668 et à la demande du roi, Mary Davis remonta sur scène pour jouer Macbeth dans les logements de James, duc d’York, frère du roi. Samuel Pepys toujours présent écrit : «  je fus vexé de voir Moll Davis dans le box du roi, et lady Castlemaine lorsqu’elle la découvrit fut rouge de colère, elle se vengea du roi en prenant comme amant l’acteur Charles Hart. « C’est à cette époque que Mary Davis s’aperçut qu’elle avait une autre rivale issue comme elle du milieu du théâtre : la jolie Nell Gwynn. Cette dernière s’était immiscée dans les faveurs du roi lorsque Moll avait quitté la scène à la fin du printemps 1668. Ancienne marchande d’oranges, elle était venue à la scène en tant qu’actrice, et contrairement à Mary Davis elle n’était pas très douée pour le chant et la danse. Par contre, elle avait les plus jolies jambes du monde, et lorsqu’elle apparaissait vêtue de collants moulants et dans son costume de jeune garçon, l’audience était saisie d’admiration. Le roi, toujours prêt à s’enflammer en fit sa maitresse tout en continuant à voir Moll.

Portrait de Nell Gwynn par Simon Veretz en 1680

Samuel Pepys comparera les deux talents des jeunes femmes indiquant que Mary Davis était des deux la danseuse la plus accomplie, mais que c’est Nell qui était la plus jolie des deux. Les deux jeunes femmes se menèrent alors une guerre sans merci pour conserver l’affection du roi. Devant celui-ci, elles feignaient de bien s’entendre, car elles venaient du même milieu du théâtre mais Nell était, de loin, la plus rusée. Un jour qu’elle devina que Mary Davis allait partager la couche du roi, elle l’invita à souper chez elle et lui fit manger des biscuits dans lesquels elle avait mélangé un laxatif puissant. Indisposée dans la soirée, Mary Davis du s’excuser auprès du roi qui se rendit chez Nell qui le reçut à bras ouverts. C’est ainsi qu’à la fin de l’année 1669, Nell Gwynn tomba enceinte du premier bâtard qu’elle allait donner au roi. Elle accoucha le 8 mai 1670 de Charles Beauclerk qui sera titré en 1676 comte de Burford, puis en 1684 duc de Saint Albans. Mary Davis fut bientôt délaissée du roi. En 1671, elle remonta sur scène en jouant Mrs Martha dans la pièce « love in a wood ».

Portrait de Louise de Kéroualle duchesse de Portsmouth par Peter Lely en 1672

Pendant la période ou le roi fut pris par sa passion pour Nell Gwynn, Mary attendit patiemment que le roi revienne lui rendre visite à Suffolk street. Mais en 1670, une autre rivale apparut bien plus dangereuse que Nell : la française Louise de Kéroualle future duchesse de Portsmouth, fille d’honneur de la sœur de Charles II, Henriette d’Angleterre duchesse d’Orléans. Installée comme fille d’honneur de la reine Catherine de Bragance, Louise de Kéroualle ne deviendra la maitresse officielle du roi qu’en décembre 1671, date à laquelle Nell Gwynn accouchera du second fils du roi, le jeune James Beauclerk. L’année suivante, Louise de Kéroualle tombera enceinte, et le roi reprit ses visites chez Mary Davis lorsque Louise accouchera le 29 juillet 1672 de Charles Lennox qui sera titré duc de Richmond en 1675.

Portrait de Mary Stuart, la fille de Mary Davis et de Charles II vers 1693 par Michael Dahl

En automne et en hiver 1672, le roi reprend ses visites à la maison de Mary Davis et en janvier 1673, Mary Davis tomba à son tour enceinte. Elle accoucha de sa fille Mary le 16 octobre 1673 : ce sera officiellement la dernière fille bâtarde du roi Charles II. En février 1675, Mary Davis apparut dans une pièce en tant que Calisto (interprétant la rivière la Tamise) en interlude et la bergère Sylvia dans les interludes musicaux. La voix et le talent de musicienne de Mary firent merveille dans ce rôle originellement tenu par un homme. Cette pièce fut jouée pour les princesses Mary et Anne, (filles du duc d’York) qui jouèrent aussi un petit rôle en tant que Calisto et son amie Nymphe. On fit aussi participer des dames de la cour mais elles étaient si inaptes que Moll Davis fut appelée à la rescousse. Parmi les musiciens de la pièce Moll Davis fit la connaissance d’un jeune français, un protestant du nom de Jacques Paisible qui jouait de l’hautbois et qui s’était installé à Londres depuis deux ans. Ce fut le coup de foudre au premier regard pour ses deux amoureux de la musique. De plus, Mary se voyait délaissé du roi qui ne cessait de se partager entre Nell Gwynn « la putain protestante » et Louise de Kéroualle « la putain catholique » comme les nommaient les londoniens.

Portrait de Mary Davis et de Jacques Paisible son futur époux

En cette année 1675, le roi était assailli par sa nouvelle favorite (Louise de Kéroualle) et par l’ancienne favorite, lady Castlemaine, qui toutes deux réclamaient l’anoblissement de leurs fils respectifs. Lady Castlemaine souhaitait que son fils Henry soit titré duc avant celui de Louise, mais ce fut le fils de Louise qui fut titré duc en premier.  Pour ne pas être en reste, le roi titra le fils de Nell (qui n’avait rien demandé pour son fils) et lui donna le titre de comte. Il n’y eut rien pour la fille bâtarde de Mary Davis, comme pour toutes les autres filles bâtardes du roi. En 1676, une autre femme prit le cœur du roi Charles II, la fantasque et légère Hortense Mancini, duchesse de Mazarin qui fuyait la France et un mari fou, et qui obtint un temps la place de favorite avant qu’elle ne tombe amoureuse du jeune prince de Monaco à l’été 1677 où le roi apprenant sa trahison sentimentale rompit avec elle.

“Partition pour flute à bec” par Jacques Paisible

Quant à Mary, retirée dans sa maison et vivant désormais pour la musique, elle recevait tous les jours au vu et au su de tous la visite de Jacques Paisible qui venait d’écrire une pièce pour l’anniversaire du roi « rare en tout », pièce qui obtint un certain succès. Un noble anglais le prit sous son aile et l’introduisit à la cour du roi Charles II. Les compositions musicales de Jacques Paisible ravirent les oreilles du roi et il obtint rapidement un emploi à la cour royale en tant que musicien du roi. En 1681, une rumeur folle fit de Mary Davis la maitresse de Baptist May, keeper of the King’s privy purse, (secrétaire des finances) du roi Charles II, mais en fait, sa présence continuelle chez ce secrétaire s’expliquait par ses constants besoins d’argent qui provenait essentiellement de la bourse royale. En 1682 elle fit jouer sa fille dans la pièce « Venus and Adonis » ou elle tint le rôle de Venus et sa fille celui de Cupidon.

Portrait vers 1680 par Mary Beale

En septembre 1683, Moll reçut une pension supplémentaire du roi pour l’avenir de sa fille qui s’éleva à 1 500 livres par an. Mais le roi Charles II rendit son âme à Dieu en mars 1685. Heureusement pour l’avenir et les finances de Mary Davis, Jacques Paisible, devenu l’amant de Mary, fut nommé musicien de la cour. Quelques semaines plus tard, Mary Davis épousait Jacques Paisible le 4 décembre 1686. Elle avait trente huit ans, il en avait trente. Ce mariage fit sourire beaucoup de monde : et notamment Sir George Etherege qui écrivit avec mépris : :«  Mme Davis vient de nouveau de donner preuve de sa passion pour la musique et M ; Paisible a maintenant entre ses mains un nouvel instrument de musique qui va le changer de ceux dont il avait l’habitude de jouer ».

 Edward Radcliffe, 2ème comte de Derwentwater, gendre de Mary Davis

En aout 1687, la fille de Mary Davis épousa Edward Radcliffe comte de Derventwater (1655-1705) et elle lui donnera quatre enfants ; à trente deux ans elle se remariera à Henry Graham qui décèdera deux ans plus tard et elle prit une troisième union en 1707 avec le major James Rooke. Deux ans plus tard, en 1688, James II, roi catholique intransigeant fut chassé d’Angleterre par son peuple qui appela au pouvoir le gendre protestant de James II, William de Hanovre qui était l’époux de sa fille ainée Mary. Par fidélité envers James II, Jacques Paisible et sa femme quittèrent Londres et s’installèrent avec la cour du roi en exil à Saint Germain en Laye, avec l’espoir de revenir en Angleterre lorsque les troupes du roi James II auraient infligé une sanglante défaite à l’armée de William, devenu le roi William III. Hélas, le désastre naval de la Hague ruinera à tout jamais les projets de Jacques II. N’ayant pas à la cour de Louis XIV le statut qu’il avait à la cour de Londres, Jacques Paisible décida de jouer son va-tout et annonça à sa femme Mary qu’il allait retourner à Londres. En effet, les conditions précaires de la cour en exil leur dépeignaient un avenir sombre en France ; de plus leurs finances fondaient comme neige au soleil.

Georges de Danemark, époux de la princesse Anne

Après avoir tâté le terrain, Jacques Paisible refranchit la Manche en 1693 avec son épouse Mary pour se proposer comme compositeur de la musique (non pas du couple régnant William et Mary) mais de celui du prince George de Danemark époux de la princesse Anne, qui était aussi l’héritière du trône (sœur de Mary et fille de Jacques II) puisque ce dernier couple n’avait pas d’enfants. Jacques Paisible produisit un grand nombre de musique pour des pièces de théâtre : « love’s last shift » de Colley Cibber et « Oroonoko » en 1695. Ses talents musicaux furent salués par nombre de ses contemporains. Pendant quinze ans, le couple des Paisible brillera à la cour d’Angleterre. A la mort du prince George de Danemark en 1708, Paisible reçut une pension de 100 livres par an, mais quelques jours plus tard, Mary Davis s’alitait elle aussi et mourrait à l’âge de soixante ans.

Inconsolable, Jacques Paisible ne se remariera pas, mais il prit une maitresse qui lui donnera plusieurs enfants qui mourront en bas âge. Douze ans après Mary, Jacques mourra à son tour laissant dans son testament 60 guinées en or. Il fut enterré auprès de Mary dans le cimetière de Ste Anne, situé dans le quartier de Soho à Londres.

Sources :

 

« the mistresses of Charles II » par Brian Masters.

« diary of Samuel Pepys »

 

Descendants de Moll Davies

 

Jusqu’aux arrière-petits-enfants.

Moll Davies, née en 1648, Westminster, décédée en 1708, inhumée, St Anne churchyard, Soho, Westminster, London (à l’âge de 60 ans).
Relation en 1670 avec Charles II Stuart, Duke of Rothesay et of Cornwall (29 mai 1630), King of England, of Scotland et of Ireland (1660-1685), Prince of Wales (peut-être 1638-1649), né le 29 mai 1630, St. James’s Palace, St. James’s, London, England, décédé le 14 février 1685, Whitehall Palace, Whitehall, London, England, inhumé le 14 février 1685, Westminster Abbey, Westminster, London, England (à l’âge de 54 ans), dont

Mariée le 23 mai 1705 avec Henry Graham, décédé le 7 janvier 1707, m.P. for Westmorland.
Mariée le 26 août 1707, Twickenham, avec James Rooke, décédé le 16 juin 1773, major.

Mariée en décembre 1686 avec Jacques Paisible, né en 1656, décédé en 1721, inhumé, St Martin in the Fields churchyard, Westminster, London (à l’âge de 65 ans), compositeur.

 

 

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