Frère de Louise de la Vallière
Portrait par école française
Né le 3 janvier 1642 à Paris ,
baptisé le 3 janvier 1642 à l’église Saint Jean de Grève.
Mort le 13 octobre 1676 à Paris.
Enterré dans l’église des Capucins à Paris.
Il est le fils de Laurent de La Baume le Blanc, seigneur de La Vallière (né à Tours le 15 juin 1611- mort le 21 septembre 1654) et de son épouse Françoise Le Prévost (née vers 1615- morte le 10 avril 1686) qu’il avait épousé le 24 novembre 1640. Françoise Le Prévost était veuve d’un premier mariage avec Pierre Bénard seigneur de Rasay dont elle n’eut pas d’enfants.
Elle donnera trois enfants au seigneur de La Vallière :
1-Jean François de la Baume le Blanc (qui naît à Paris en 1642)
2-Jean Michel Emard de la Baume le Blanc (né le 19 août 1643 à Tours- mort jeune)
3-Françoise Louise de la Baume le Blanc, (née le 5 août 1644 à Tours- morte religieuse Carmélite le 6 juin 1710), « sœur Louise de la Miséricorde » qui deviendra la fameuse maîtresse de Louis XIV.
Jean François de La Baume le Blanc entretiendra toute sa vie une étroite relation avec sa sœur Louise, dont la faveur auprès du roi facilitera son ascension parmi les seigneurs du royaume.
Louise de la Vallière par Claude Lefebvre « en Diane », favorite de Louis XIV, qui facilitera l’ascension sociale de son frère
Jean François de La Baume le Blanc épousera une riche héritière bretonne Gabrielle Glé de la Costardais (née en 1648- morte à Paris le 11 mai 1707) dame de la Costardais, baronne de Bécherel et de Médréac. Il se marie à Paris le 12 juin 1663 et auront quatre enfants :
1- Louise Gabrielle de la Baume le Blanc (née en 1665- morte le 7 novembre 1698), elle deviendra dame du palais de Marie Thérèse d’Autriche de 1681 à 1683 : elle épousera le 30 juillet 1681 César Auguste duc de Choiseul (1637-1705) à qui elle donnera quatre enfants. Elle eut une vie fort galante et fut un temps la maîtresse du Dauphin Louis.
2-Maximilien Henri de la Baume le Blanc (né en 1667- mort en 1736), il fut gendarme de la reine puis lieutenant du roi au gouvernement d’Amboise. Connu sous le nom de chevalier de la Vallière, il ne se maria pas.
3- Charles François de la Baume le Blanc (né le 29 janvier 1670- mort le 22 août 1739) 1er duc de la Vallière en 1723, il fut lieutenant général des armées du roi et gouverneur du Bourbonnais. ; il épousera Marie Thérèse de Noailles (1684-1784) à Versailles le 16 juin 1698 et en aura deux fils.
4-Marie Yolande de la Baume le Blanc (née en 1676- morte en 1743) elle épousera le 3 juin 1697 Charles Louis Vincent du Matz, marquis du Brossay (mort en 1724) et se remariera en janvier 1724 à Louis de Pontevès marquis de Tournon. Sans postérité de ses deux mariages.
Le père de Jean François et de Louise est un militaire de carrière ; en effet, Laurent de La Baume Le Blanc a hérité du poste de gouverneur d’Amboise de son père, mais il est attiré vers la carrière militaire. Il participe en 1635 à la victoire de Maastricht contre les espagnols et devient mestre de camp de la cavalerie légère et cornette de la compagnie.
En 1643, il prend part à la bataille de Rocroi sous les ordres de Condé mais il meurt prématurément en 1654 à l’age de quarante trois ans.
La bataille de Rocroi, le 19 mai 1643, qui opposa l’armée espagnole et l’armée française commandée par le Grand Condé : le père de Jean François allait s’y distinguer …
Sa veuve, Françoise le Prévost se retrouve avec deux enfants en bas age et un monceau de dettes. Elle doit vendre des terres et finit par obtenir du cardinal Mazarin une pension annuelle de 1 000 écus en mémoire de son mari, fidèle serviteur du roi. Quelques mois après la mort de son époux, elle décide de se remarier pour la troisième fois avec Jacques de Courtavel, marquis de Saint Rémy. Le mariage s’exécute le 2 mars 1655.
Signature de Jean François de la Baume le Blanc en février 1650 à Reugny, sur un acte de baptème, il est le parrain de l’enfant, sa sœur Louise (qui est marraine) a signé juste en dessous de son frère
Le ménage part s’installer à Blois à la petite cour de Gaston d’Orléans, en effet, Jacques de Courtavel est premier maître d’hôtel de Madame duchesse d’Orléans et il est lui même veuf d’un premier mariage avec Marguerite de Langan de Boisfévrier qui lui a donné une fille, Catherine, qui deviendra la future épouse de Germain Texier d’Hautefeuille. Quant à Françoise le Prévost, elle donne un nouvel enfant à son époux l’année suivant son mariage, et c’est une nouvelle fille, prénommée aussi Catherine qui voit le jour, et qui épousera par la suite le comte de Saint Trivier.
Le château de la Vallière à Reugny (Indre et Loire) où Louise de La Vallière passera son enfance
Si Françoise le Prévost vit à Blois et a gardé auprès d’elle sa fille Louise de La Vallière, son fils, Jean François est expédié à Paris où il entre au collège de Navarre dans le courant de l’année 1655. Il reçoit pour son éducation une pension d’un montant de 1 500 livres. Il a alors treize ans. Il devient aimable, gracieux, désinvolte et possède une élégance qui cache mal son impertinence. Il sait plaire et sourire et possède tout le vernis du futur courtisan de Versailles.
En 1658, le roi le nomme lieutenant au gouvernement de la ville d’Amboise. Un an plus tard, en mars 1659, il prête serment devant le chancelier de France avec des appointements s’élevant à 600 livres l’an. En 1660, Gaston d’Orléans meurt et la mère de Jean François accompagné de son époux regagne la capitale. Une cousine de la famille, Mme de Choisy, se propose de faire entrer Louise parmi les filles d’honneurs de Henriette Anne d’Angleterre, épouse de Philippe d’Orléans, frère du roi.
Louise de la Vallière arrive alors pour la première fois à Versailles, où elle tombe amoureuse du roi. La liaison de la jeune fille et du roi est discrète pendant l’année 1661. La disgrâce de Fouquet en 1661, puis son emprisonnement le conduit jusqu’à Amboise où sa garde est confiée un temps à Jean François de la Baume le Blanc.
En 1662, Jean François de la Baume le Blanc, fringant lieutenant, participe à un défilé militaire devant le roi Louis XIV à Paris ; or, auprès de celui-ci se trouve sa sœur Louise de la Vallière, la nouvelle favorite. Très démonstratif, Jean François lance un sourire à sa sœur accompagné d’un petit signe, Louise, émue, lui sourit. Le roi, attentif à tout ce qui concerne sa maîtresse prend mal la chose, et demande l’identité du beau cavalier : Louise lui répond simplement qu’il s’agit de son frère. Ravi de la modestie de sa favorite, qui ne lui a jamais réclamé de faveur, le roi s’empresse de manifester sa reconnaissance vis à vis de la famille de la jeune femme.
Et c’est Jean François qui récolte en premier les premiers signes de faveur du roi : le 28 janvier 1663, il est nommé cornette de la compagnie des chevaux légers de Monseigneur le Dauphin avec un traitement (mirifique) de 50 000 écus. Le capitaine de la compagnie est le roi lui même, le Dauphin (âgé de deux ans) en est le lieutenant.
Quant à Jean François, en tant que cornette il récolte les traitements et soldes des chefs et des hommes de sa troupe. Il semble qu’il oublie parfois que la cassette du régiment se confonde avec ses fonds personnels. Avide de richesse, il se lance à la recherche d’une future épouse aux poches bien garnies. Il finit par la trouver en Bretagne : sa future épouse se nomme Gabrielle Glé et elle est la fille unique de Jean Glé seigneur de Bécherel (mort en 1649) et de Marie de Montigny comtesse de Beaufort. Le roi appose sa signature au contrat de mariage qui s’effectue à Paris le 12 juin 1663.
La sirène du clocher de l’église de Lancieux, en Bretagne, porte les armes de Gabrielle Glé marquise de La Vallière
La mariée de quinze ans apporte une superbe dot de 60 000 livres de rente. Le ménage loge dans un bel hôtel de la place des Tuileries mais Jean François ne s’occupe guère de sa petite épouse. A vingt et un ans, il multiplie les conquêtes amoureuses et se préoccupe de profiter au maximum des faveurs de sa sœur auprès du roi.
Il devient bientôt un courtisan avide de biens et d’honneurs, et il use bientôt du droit d’aubaine avec fureur : il sollicite les biens de tous les personnages tombés en disgrâce auprès du roi. Sa fortune s’évalue bientôt à 200 000 Francs or.
En 1664, il reçoit lors d’un « jeu de bague » de la reine Marie Thérèse d’Autriche, une épée d’or enrichie de diamant et un superbe baudrier. L’année suivante, il se querelle avec le chevalier de Lorraine qui s’est mis en tête de courtiser la même dame que lui (bien qu’il soit l’un des favoris de Monsieur). Le roi le gronde mais lui permet de démissionner la même année de sa charge de lieutenant au gouvernement d’Amboise, il est nommé par le roi en octobre capitaine lieutenant avec rang de maistre de camp. C’est la même année (1665) que naît son premier enfant, une fillette prénommée Louise Gabrielle.
En 1667, il est nommé brigadier et participe au siège de Lille ; la même année, le roi qui a commencé à délaisser Louise de la Vallière s’intéresse de très près à la superbe Françoise marquise de Montespan. Son premier fils, Maximilien Henri naît la même année.
En mai 1669, Jean François, qui a toujours été « panier percé » est contraint de vendre des terres pour payer ses dettes astronomiques : il vend Orfeuille, le fief des La Vallière à Reugny.
Le château de la Vallière à Reugny (Indre et Loire) dont Jean François se séparera en 1669 pour payer ses dettes
C’est à cette époque que sa faveur baisse auprès du roi, qui semble se désintéresser des La Vallière. Le roi demande à Louvois d’écarter le marquis de la Vallière de Versailles et de l’expédier en province. Louvois lui présente le gouvernement et la lieutenance générale du Bourbonnais, mais en contrepartie Jean François doit abandonner son titre dans le régiment du Dauphin.
Alléché par ce poste prestigieux, le marquis de la Vallière s’exécute et reçoit une solde de 6 000 livres l’an. En revanche, il doit quitter Versailles où il n’a plus de poste officiel et se rendre à Moulins pour prendre possession de son nouveau poste. Alors qu’il part pour Moulins, sa femme, restée à Paris accouche de leur troisième enfant en janvier 1670, Charles François, qui deviendra le 1er duc de la Vallière.
Le château des ducs de Bourbon à Moulins (Allier), deviendra la résidence de Jean François de La Baume lorsque celui-ci sera nommé gouverneur du Bourbonnais en 1670
La vie de province lui est bientôt insupportable. Son épouse, qui est restée à Paris reçoit, elle, une superbe opportunité de rester à Versailles, elle est nommée dame du palais de la reine en 1674. Il s’agit peut être de la dernière faveur que Louise de la Vallière ait réussi à obtenir du souverain avant d’entrer définitivement dans les ordres dans le courant de la même année. Dorénavant, c’est le clan des Mortemart qui règne à Versailles, avec à sa tête la toute puissante marquise de Montespan.
Jean François de la Baume le Blanc, qui se morfond dans son gouvernement du Bourbonnais reçoit une nouvelle faveur dans le courant de mai 1675 : il est nommé au commandement du Nivernais et du Berry et s’occupe de la levée de l’arrière ban ordonné par le roi. Il en profite pour demander au roi l’autorisation de se rendre à Versailles, mais Louis XIV refuse qu’il revienne à la cour. Il a cependant la permission de se rendre à Paris !
Jean François se tourne alors vers la nouvelle favorite et organise de façon somptueuse les déplacements de la belle marquise de Montespan qui se rend fréquemment à Bourbon l’Archambault pour prendre les eaux. A chaque halte, les échevins des villes concernées doivent accueillir la favorite fastueusement.
Le château de Bourbon l’Archambault (Allier), lieu de prédilection de Mme de Montespan qui viendra y prendre les eaux accompagnée de la marquise de La Vallière, femme de Jean François
En 1676, c’est son épouse Gabrielle Glé qui se joint à la marquise lors de sa cure en Bourbonnais. Les deux femmes ont sympathisé. Jean François reçoit sa favorite avec beaucoup d’égard mais doit bientôt s’aliter en proie à des douleurs intolérables.
Ses excès de tout genre (les femmes, la boisson, la nourriture) ont eu raison de sa santé. Les médecins tentent de le sauver et l’opèrent mais le marquis de la Vallière meurt à Paris dans la nuit du 12 au 13 octobre 1676, à la merci de ces charlatans : il n’avait que trente quatre ans.
Mme de Sévigné relatera sa mort :
…,M. de la Vallière est mort je ne sais comment ; je hais toujours que les hommes aient mal au derrière ; on lui a fait plusieurs opérations….
Et dira du marquis de la Vallière :
…., il avait des goûts plus singuliers encore que sa vertu…..
En mourant, il laisse d’énormes dettes. Sa sœur Louise, sort de sa réserve qui était la sienne depuis qu’elle était entrée au couvent et demande au roi d’intervenir pour que sa belle sœur et ses enfants ne soient pas laissés dans la gêne.
En effet, l’épouse de Jean François, Gabrielle Glé, se retrouve veuve à l’âge de vingt huit ans avec un nourrisson de quelques mois (née en 1676). Le roi la nomme tutrice de ses enfants le 15 janvier 1677. Le gouvernement du Bourbonnais lui est rétrocédé pour elle et ses enfants, et un intendant est nommé pour gérer les affaires de la marquise de la Vallière à Moulins. Elle ne se remariera jamais et finit ses jours à Paris le 11 mai 1707 à l’âge de cinquante neuf ans.
Saint Simon relatera la mort de la marquise de la Vallière dans ses Mémoires :
… Peu de jours après la mort du maréchal d’Estrées, mourut la marquise de La 1Vallière, veuve du frère de la maîtresse du roi, que sa faveur avait faite dame du palais de la reine. Son nom était Gié, et fort peu de chose, ce qui n’était pas surprenant; mais une femme de beaucoup d’esprit, gaie, extrêmement aimable, qui avait de l’intrigue et beaucoup d’amis, et qui, par là, sut se soutenir à la cour et dans le monde avec beaucoup de considération après la retraite de sa belle-soeur. Elle était devenue infirme et dévote, et ne venait presque plus à la cour, mais toujours, quand elle y paraissait, fort recherchée. Le roi, qui s’était fort amusé de sa gaieté et de son esprit, la distinguait toutes les fois qu’il la voyait, et conserva toujours de l’amitié pour elle. …
Sources :
– Père Anselme (famille La Baume le Blanc)
– Gazette de France.
– « Les La Baume Le Blanc », par Louis Tricot.
Descendants de Jean-François de La Baume Le Blanc
Jusqu’aux petits-enfants.
Jean-François de La Baume Le Blanc, marquis de La Vallière, baron de Maisonfort, né le 3 janvier 1642, Paris (75), baptisé le 4 janvier 1642, église Saint-Jean-de-Grève, décédé le 13 octobre 1676 (à l’âge de 34 ans), gouverneur du Bourbonnais en 1670, capitaine lieutenant des chevau légers du Dauphin.
Marié le 12 juin 1663, Paris, avec Gabrielle Glé, née en 1648, décédée le 11 mai 1707, Paris (à l’âge de 59 ans), dame du palais de la reine Marie Thérèse d’Autriche de 1674 à 1683, dont
- Louise Gabrielle, née en 1665, décédée le 7 novembre 1698 (à l’âge de 33 ans), dame du palais de la reine Marie Thérèse d’Autriche de 1681 à 1683.
Mariée le 30 juillet 1681 avec César Auguste, duc de Choiseul (3e, 1684), comte du Plessis Praslin (1675), vicomte de Saint Jean, né en 1637, décédé le 12 avril 1705, à Paris en son hotel rue Royale, inhumé le 14 avril 1705, aux Feuillants de la rue St Honoré (à l’âge de 68 ans), lieutenant général en 1677, dont- Marie Louise Gabrielle, née le 30 janvier 1683, baptisée le 30 janvier 1694, Laon, décédée le 19 mai 1710, Paris, inhumée le 20 mai 1710, aux Feuillants à Paris (à l’âge de 27 ans).
- César, né le 10 novembre 1688, décédé le 13 août 1690 (à l’âge de 21 mois).
- Marie Louise Thérèse, née le 5 octobre 1692, baptisée le 30 janvier 1694, Laon, décédée en 1720 (à l’âge de 28 ans).
- Augustine Françoise, né le 8 octobre 1697, baptisé le 13 juillet 1723, église St Sulpice à Paris, décédé en juillet 1728 (à l’âge de 30 ans).
- Maximilien Henri, né vers 1667, décédé en 1736 (à l’âge de peut-être 69 ans), lieutenant du roi au gouvernement d’Amboise (1697).
- Charles François, duc de La Vallière (1er, 1723), né le 29 janvier 1670, décédé le 22 août 1739 (à l’âge de 69 ans), lieutenant général des armées du roi, gouverneur du Bourbonnais.
Marié le 16 juin 1698, Notre-Dame,Versailles (78), avec Marie-Thérèse de Noailles, née le 3 octobre 1684, décédée le 24 avril 1784, Paris, inhumée le 11 mai 1784, inhumée chapelle du chateau de Wideville, à Crépières, Yvelines (à l’âge de 99 ans), dame du palais de la Dauphine (Marie Adelaide de Savoie) en 1698, dont- Louis César, duc de la Vallière (2e, 1747), né le 9 octobre 1708, décédé le 18 novembre 1780 (à l’âge de 72 ans), colonel du régiment “la vallière” en 1727, gouverneur du Bourbonnais, Grand Fauconnier de France.
Marié le 19 février 1732 avec Anne de Crussol d’Uzès, née le 11 décembre 1713, décédée le 2 janvier 1797 (à l’âge de 83 ans). - Louis François, né le 5 octobre 1709, décédé en 1731 (à l’âge de 22 ans), chevalier de Malte, colonel du régiment du Vivarais.
- Louis César, duc de la Vallière (2e, 1747), né le 9 octobre 1708, décédé le 18 novembre 1780 (à l’âge de 72 ans), colonel du régiment “la vallière” en 1727, gouverneur du Bourbonnais, Grand Fauconnier de France.
- Marie Yolande, née vers 1676, décédée en 1743 (à l’âge de peut-être 67 ans).
Mariée le 3 juin 1697 avec Charles Louis Vincent du Matz, marquis du Brossay, , baron du Bois-Thibault ((St Fraimbault de Lassay)), décédé en 1724.
Mariée en janvier 1724 avec Louis de Pontevès, marquis de Tournon.
Total: 10 personnes (conjoints non compris).
Bonjour,
Bravo pour votre blog plus que complet. J’ai pris beaucoup de plaisir à le parcourir.
Je me permets de vous écrire pour vous demander un renseignement : écrivant un livre sur l’histoire de Reugny, et donc sur les personnages qui sont liés au village, j’aimerais savoir où vous avez trouvé la peinture représentant Jean-François de la Baume le Blanc.
Merci beaucoup.
Bonjour et merci pour votre compliment.
Le portrait de Jean François de la Baume a été vendu par Christies New York le 7 février 2006, (sale : 1623, lot : 21).
Voici le lien :
http://www.christies.com/lotfinder/lot/french-school-late-17thearly-18th-century-portrait-4659240-details.aspx?from=searchresults&pos=33&intObjectID=4659240&sid=5b364b4e-a29d-43b4-aaa8-9e0198437ff4
Bon courage pour votre article !
Merci !
ça s’annonce donc compliqué, je pense que je ne vais pas compter sur ce tableau…
Bonne soirée