Elizabeth Vassall lady Webster par Louis Gauffier en 1795
Née sur l’ile de la Jamaique le 25 mars 1771
Morte à Londres le 16 novembre 1845
Enterrée à Ampthill Park dans le Bedfordshire
Elizabeth Vassall naquit le 25 mars 1771 sur l’île de la Jamaïque. Elle était l’unique enfant de Richard Vassall, un riche planteur et son épouse Mary Clarke, née à New York. Son père possédait trois plantations de sucre sur l’île de la Jamaïque.
Une légende familiale tenace veut que les premiers Vassall aient été des descendants de John et William Vassall, mentionnés dans la première charte du Massachusetts en 1629. L’éducation de la jeune Elizabeth fut assez sommaire, elle avouera plus tard avoir dévoré les livres et s’être surtout éduquée elle même. La famille vivait principalement en Angleterre.
L’ile de la Jamaique au XVIIIème siècle
A l’âge de quinze ans et trois mois, son père la donne en mariage le 27 juin 1786 à un baronnet anglais, Godfrey Webster 4ème baronnet Webster de Battle Abbey dans le Sussex, qui a vingt trois ans de plus qu’Elizabeth.
Dès le départ, le mariage (qui était un mariage de convenance) sera un désastre. Clairement lord Webster n’avait en tête que la dot de la mariée, et les parents d’Elizabeth étaient plutôt fiers de s’allier à l’une des plus anciennes familles du Sussex.
Richard Vassall, père d’Elizabeth Vassall
Le couple ne put s’installer à Battle Abbey qui était le siège de la baronnie, car c’est la tante de Godfrey, Martha Nairne, (veuve du 2ème baronnet Whistler Webster mort en 1776) qui l’occupait : Godfrey Webster et Elizabeth s’installèrent dans une une petite maison à proximité de Battle Abbey.
Dès les premiers mois du mariage, Elizabeth entra en conflit avec la tante de son époux : d’une part parce que dans son esprit elle usurpait sa place légitime, et d’autre part parce que Martha Nairne ne faisait rien pour entretenir Battle Abbey qui tombait peu à peu en décrépitude. Elizabeth devenue lady Webster ne tarda pas à périr d’ennui à la campagne ; elle écrira plus tard qu’elle se languissait de quitter Battle Abbey, ce lieu haï où elle périssait de solitude et où elle avait gâché les meilleures première années de sa vie d’adulte.
Martha Nairne, lady Webster (tante du mari d’Elizabeth Vassall) par Ozias Humphry
Elle suppliera son époux, dès la naissance de son deuxième enfant, de l’emmener à l’étranger.
Avec beaucoup de réticence, car il était immensément populaire dans ce coin du Sussex, lord Webster consentit à s’embarquer pour l’étranger avec son épouse dès le printemps 1791. Désormais Elizabeth et son époux partageront leur existence entre l’étranger et le continent : lady Webster donnera naissance à cinq enfants de 1789 à 1795 : 4 fils et une fille Harriet Frances. Concernant les garçons, seuls Godfrey (né en 1789) et Henry (né en 1793) parviendront à l’âge adulte.
Godfrey Webster, 4ème baronet Webster, 1er mari d’Elizabeth Vassall, par Louis Gauffier en 1796
Les première années de sa vie maritale, Elizabeth les passent le plus souvent à l’étranger, elle tiendra d’ailleurs un journal de ses voyages en Espagne et en Italie. Le couple maintiendra un bonheur de façade jusqu’en 1792 où l’attitude de lord Webster vis à vis d’Elizabeth changera du tout au tout.
Il développera des crises de jalousie (pour la plupart non justifiées notamment à cette époque), des périodes où il se renfermait et qui le conduiront jusqu’à la dépression, et enfin des crises de violence bien souvent causées par de lourdes pertes au jeu. De plus, la différence d’age accentua le mécontentement mutuel qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre.
Lady Webster n’avait pas le profil d’une femme soumise, et lorsqu’elle était à l’étranger, elle redoutait le retour en Angleterre dans cette campagne confinée où sa jeunesse périssait à petit feu.
Dans ses lettres de « voyages » elle décrira son mari comme « son tourmenteur » ou « l’homme à laquelle la calamité m’a unie ».
Profondément malheureuse, elle avouera avoir songé de nombreuses fois au suicide. Elle n’aspire qu’à aimer et à être aimée. Alors qu’elle est à Florence, en Italie, où elle entame sa cinquième grossesse elle apprend la mort de son père Richard Vassall, à Londres, le 28 février 1795.
A la mort de son père, sa fortune personnelle est versée à son mari avec la condition que son époux relève le nom de Vassall. Ce que fait lord Webster avant de laisser sa jeune épouse enceinte à Florence pour poursuivre son voyage tout seul jusqu’à Rome.
Henry Richard Fox, 3ème baron Holland (2ème mari d’Elizabeth Vassall) par François Xavier Fabre en 1795
Pendant l’été 1795, alors qu’elle est enceinte de six mois Elizabeth va rencontrer celui qui sera l’homme de sa vie. Il se nomme Henry Richard Fox, et il est depuis quelques mois le 3ème lord Holland. Il a deux ans de moins qu’Elizabeth et vient d’entreprendre depuis 1791 son Grand Tour avec quelques amis étudiants à la sortie de ses études à Oxford.
Il est le neveu du grand leader du parti Whig, Charles James Fox. Son père, Stephen 2ème lord Holland est mort lorsqu’il avait un an, et sa mère lorsqu’il avait cinq ans. Il avait été élevé par ses deux oncles, Charles James Fox et lord Ossory, frère de sa mère.
Elizabeth Vassall lady Webster en « vierge du soleil » par George Romney vers 1793
C’est un jeune homme affable, au caractère doux et qui tombe fou amoureux de lady Webster pourtant lourdement enceinte. Lorsque son mari, de retour de Rome, l’enjoint de le rejoindre sur le chemin du retour en Angleterre, Elizabeth se refuse à se séparer de lord Holland et refuse tout net de suivre son époux.
L’enfant qu’elle met au monde en octobre 1795 ne survit pas. Elle est prête à renoncer à tout pour rester près de son amant, lord Holland, quitte à renoncer à sa fortune et à ses enfants restés en Angleterre, mais elle a gardé près d’elle sa fille Harriet Frances âgée d’un an. Son mari réclame la restitution de la fillette. C’est alors qu’Elizabeth, effrayée, va concocter un plan voué à l’échec, elle annonce dans une lettre à son époux la mort de l’enfant, organise un faux enterrement et annonce qu’elle a adopté une fillette du même age qu’Harriet (pour la consoler de la perte de l’enfant) pour expliquer la présence d’une petite fille auprès d’elle. Mais son époux est loin d’être sot, il débusque la supercherie en interrogeant les serviteurs et récupérera sa fille trois ans plus tard.
Elizabeth Vassall lady Webster par Robert Fagan en 1793
En attendant Elizabeth Webster et son amant lord Holland filent le parfait amour. Elle le suit en Angleterre en avril 1796 et devient sa maîtresse déclarée. Elizabeth a consenti à rencontré son époux dans la maison de celui-ci à Albemarle Street, puis après une rencontre plus que houleuse (elle est enceinte de son amant), elle décide de prendre un logement à Brompton Row.
Elle y donne naissance en novembre 1796 à un fils, Charles Richard Fox, dont le père est lord Holland. Furieux, Lord Webster n’a pas perdu de temps depuis leur dernière rencontre et a demandé le divorce en arguant de l’infidélité de sa femme. Il réclame la garde de leurs enfants. Il obtiendra par un Acte de Parlement que son ex femme renonce à sa fortune personnelle en sa faveur, et qu’elle ne garde que 800 livres de pension annuelle. Vis à vis de lord Holland, lord Webster obtiendra une compensation financière de 10 000 livres en raison de l’atteinte morale encourue.
Le 4 juillet 1797, le divorce entre les époux Webster est prononcé, et deux jours plus tard Elizabeth Vassall épouse lord Holland à Rickmansworth, Malheureusement pour leur premier fils, né huit mois auparavant, le fait même qu’il soit né avant le mariage de ses parents le soustrait à l’héritage de son père car déclaré illégitime. Le 3 juin 1800, lady Holland apprend la mort de son premier époux, lord Webster, qui s’est suicidé chez lui en se tirant une balle dans la tête, ayant perdu quelques jours auparavant une forte somme d’argent au jeu. La fortune du père d’Elizabeth sera alors reversée sur les enfants d’Elizabeth (ceux de son premier mariage et ceux nés de son deuxième mariage).
Elizabeth Vassall lady Webster par John Hoppner
Lord Holland, de bonne grâce, relevera le nom des Vassall (vœu exprimé dans le testament du grand père d’Elizabeth, Florentius Vassall). Une licence royale du 18 juin 1800 lui accordera ce droit. Les revenus des plantations en Jamaïque s’élevaient en 1800 à 7 000 livres annuels (somme qui déclinera graduellement lors de la suppression du marché aux esclaves dans les années postérieures). A la mort de lord Webster, Elizabeth tentera de récupérer ses enfants nés de son premier mariage : sa requête fut refusée et M. Chaplin, beau frère de lord Webster maintiendra sa garde des enfants de lord Webster qui lui avait expressément recommandé avant de mourir d’interdire toute communication entre eux et leur indigne mère. Un tribunal en 1801 refusera définitivement la garde à lady Holland.
Godfrey Webster 5ème baronet Webster (fils ainé d’Elizabeth Vassall et de son premier mari) par Gilbert Stuart
Profondément affectée, Elizabeth incitera son époux à quitter l’Angleterre dès 1802. La santé fragile de leur premier fils les poussera à se rendre sur le continent. Mais le mépris affiché de la haute société londonienne vis à vis de lady Holland ne fut pas étrangère à leur départ. Seules quelques amies fidèles avaient ouvert leur porte à la « divorcée » : la duchesse de Devonshire et lady Bessborough. Ce rejet intensifiera son caractère autoritaire qu’elle n’hésitera pas à afficher dans le futur lorsque Holland House deviendra le salon le plus huppé de Londres. Les Holland demeurèrent deux ans en Espagne et ne retournèrent en Angleterre qu’en 1805. En 1806 son mari fera parti du ministère de lord Grenville et deviendra Lord Privy Seal. Les Holland retourneront en Espagne en 1808 pour revenir à nouveau en Angleterre en août 1809.
Henry Vassall Webster, (2ème fils de Elizabeth Vassall et de son premier mari) par Martin Archer Shee en 1814
Le couple aura en tout six enfants : trois fils et trois filles et Elizabeth donnera naissance à son dernier enfant, une fille, morte née en 1812, à l’age de quarante et un ans. En attendant, sa vie en Angleterre ne sera pas si facile : méprisée par la haute société qui la considère comme une paria depuis son divorce avec Webster, elle aura la chance de récupérer sa place parmi les gens influents par le biais de son époux lord Holland universellement apprécié par tout ceux qui l’approchait. Lady Holland prendra sa revanche en organisant des dîners somptueux à Holland House, la maison des Holland à Londres qui deviendra le lieu le plus couru des hommes politiques influents de la capitale londonienne. Là, lady Holland va tenir une sorte de salon. Ne pouvant se rendre à la cour considérant son statut de « divorcée » elle va prendre sa revanche grace à ses soirées à Holland House.
Charles Maurice de Talleyrand Périgord sera un hôte de Holland House
Cyrus Redding décrira lady Holland ainsi : « elle était polie, froide, hautaine pour ceux qu’elle rencontrait pour la première fois, elle était agressive vis à vis de ceux qu’elle n’appréciait pas ». Lady Holland n’hésitait pas à fustiger ses invités.
A lord Porchester qui s’apprêtait à publier les poèmes qu’il venait d’écrire elle déclarera : « je suis désolée d’entendre que vous allez publié un poème, ne pouvez vous vous abstenir ? » à un autre qui souhaitait lire un de ses poèmes lors de ses soirées elle dira « votre poésie est très mauvaise, aussi épargnez nous votre prose ». En vieillissant, elle acquit une réputation de femme rude et désagréable.
Portrait d’Elizabeth lady Webster par Louis Gauffier en 1795
Lord Dudley déclarera qu’il refusait les invitations de lady Holland car « il ne souhaitait pas être tyrannisé pendant qu’il dînait ».
Quant à lord Melbourne à qui elle intima un jour de se lever de table et de changer de place avec un autre convive, il déclara en jetant sa serviette dans son serviette « je suis damné si je remets un jour les pieds ici » et il sortit furieux hors de la salle.
Portrait d’Elizabeth lady Webster par Louis Gauffier (avec son fils Godfrey Vassall) en 1796
En règle générale, lady Holland continuait d’attirer à elle tous les beaux esprits de Londres. Elle conservait sa beauté, une vivacité et une aptitude à mener la conversation de ses hôtes de façon à ce qu’ils n’ergotent pas indéfiniment sur le même sujet.
Sa maison de Holland House était devenue un terrain neutre où les Whigs et les Tory pouvaient s’entretenir avec respect et tolérance. Bien qu’elle ait été elle même une nature sceptique, elle se refusera à tolérer un manque de respect vis à vis de la religion. Sa seule peur était celle des orages : lorsque le tonnerre grondait elle demandait que les domestiques allument les chandeliers dans toutes les pièces de Holland House.
Henry Richard Fox Vassall 3ème baron Holland en 1820 (2ème mari d’Elizabeth Vassall) par George Hayter
La présence de Lord Holland à ces fameux dîners attiraient aussi beaucoup de monde : lord Holland était aimable, féru d’anecdotes variées et capable de fasciner une audience sans aucun problème.
C’est un homme féru de belles lettres, il possède une bibliothèque contenant près de 10 000 livres.
Au gré de la politique, Holland House devint peu à peu le bastion de l’opposition au gouvernement. Lorsque le ministère de lord Goderich s’écroula en 1828, lady Holland envisagea de contribuer à l’élévation de son mari à la plus haute carrière politique. Elle ambitionnait pour lui le poste de ministre des Affaires Étrangères.
Lorsque ce projet échoua, elle alla trouvé lord John Russell et amèrement lui relata ses illusions perdues, ce dernier lui fit remarquer avec diplomatie que comme elle avait l’habitude d’ouvrir toute la correspondance de son mari, ceci pouvait expliquer l’échec de l’entrée en vie politique de Lord Holland. L’amour entre les époux n’a pas diminué avec les années : à l’age de soixante ans, lord Holland écrit encore des vers à son épouse :
Je vous aimais énormément à l’age de vingt quatre ans
Je vous aime encore mieux à l’age de soixante
Curieusement lady Holland (ainsi que son époux) était une fervente admiratrice de Napoléon 1er qu’elle avait rencontré à la Malmaison au cours de l’un de ses voyages en 1802 en France. Elle lui enverra une lettre de sympathie et de support lorsque ce dernier sera exilé sur l’île d’Elbe en 1814, puis lors de l’exil à Sainte Hélène, elle n’hésitera pas à lui faire parvenir des livres et des pâtisseries de Naples.
A sa mort, Napoléon 1er lui léguera une tabatière en or qui sera transmis à lady Holland par le général Gatien, fidèle de l’Empereur.
Elle conservera en souvenir de lui une bague et une croix de la Légion d’Honneur qui lui avait appartenu, une paire de chaussettes qu’il avait porté à Sainte Hélène, et une copie de la Revue d’Edinbourg couverte d’annotations personnelles de la main de l’Empereur.
En 1835, la mère de lady Holland, Mary Clark, mourut à Dalham Hall dans le Suffolk (à l’age de 86 ans) dans la demeure de son deuxième mari sir Gilbert Affleck, 2ème baronnet qu’elle avait épousé en 1796.
La mort brutale de lord Holland survint le 22 octobre 1840. En mauvaise santé, il devait passer les dernières années de sa vie dans un fauteuil roulant.
C’est sa femme qu’il désignera comme héritière et non pas son fils Henry Edward qui est une source de mécontentement pour les deux époux. Les soirées de Holland House s’altérèrent peu à peu. Elizabeth décida de se retirer à South Street, à Grosvenor Square, résidence qu’elle avait hérité de sa mère, et d’y entretenir une assemblée un peu plus intime.
Henry Edward Fox Vassall, 4ème baron Holland (fils cadet de Elizabeth Vassall et de son 2ème mari)
En novembre 1843, elle louera une maison au 9 Great Stanhope Street.à Londres.
L’approche de sa propre mort ne lui apporta ni crainte ni chagrin, et c’est à deux heures du matin le 16 novembre 1845 qu’elle rendit le dernier soupir à l’age de soixante quatorze ans.
Elle fut enterrée à Ampthill Park dans le Bedfordshire. Elle laissera un testament dont elle exclura entièrement ses enfants (ses liens avec les enfants de son premier mariage étaient inexistants et ses liens avec son fils héritier Henry Edward étaient exécrables) mais rétribuera certains de ses fidèles serviteurs.
Charles Richard Fox (fils ainé d’Elizabeth Vassal et de son 2ème mari)
Concernant sa descendance, ses deux fils nés de son premier mariage atteindront l’âge adulte : l’aîné Godfrey succéda à son père et devint le 4ème lord Webster. Le cadet, Henry entrera dans l’armée et finira colonel : il mettra fin à sa vie à l’aide d’un canif.
Sa fille Harriet se mariera en 1816 avec un capitaine de la Royal Navy, Fleetwood Pellew.
Quand au fils aîné de son deuxième mariage, Charles Richard Fox, (celui qui naquit avant le mariage de ses parents), il entrera dans l’armée et épousera en 1824 lady Mary Fitzclarence, la deuxième fille du roi William IV et de sa maîtresse l’actrice Dorothy Jordan.
Mary Augusta Coventry, 4ème lady Holland, épouse d’Henry Edward Fox (bru d’Elizabeth Vassall)
C’est son troisième fils, Henry Edward, qui relèvera le titre de lord Holland. Il était bel homme mais il boitait et devait s’aider d’une canne.
Il passera la majeure partie de sa vie en Italie refusant d’envisager une vie politique en Angleterre comme le réclamait vivement ses parents. Il décèdera sans enfants de son épouse, fille du comte de Coventry. Pour l’anecdote, lady Holland est aussi connue pour avoir introduit le dahlia en Angleterre. En effet, en 1804, elle expédia quelques graines de Madrid à Holland House et les dahlias prirent racine.
Sources :
-
The spanish journal of Elizabeth lady Holland par le comte de Ilchester.
-
The journal of Elizabeth lady Holland, par le comte de Ilchester.
Descendants d’Elizabeth Vassall
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Jusqu’aux petits-enfants.
Elizabeth Vassall, née le 25 mars 1771, Jamaica, décédée en novembre 1845, London, England (à l’âge de 74 ans), english political hostess.
Mariée le 27 juin 1786 avec Godfrey, Baronet Webster (4e), né vers 1748, décédé le 3 juin 1800, Londres (à l’âge de peut-être 52 ans), member of Parliament for Seaford, MP for Wareham, divorcés, dont
- Godfrey Vassall, Baronet Webster (5e), né le 6 octobre 1789, Battle Abbey, Sussex, décédé le 17 juillet 1836 (à l’âge de 46 ans).
Marié le 22 août 1814 avec Charlotte Adamson, née en 1791, London, décédée le 30 janvier 1867, St Leonard’s on sea, Sussex (à l’âge de 76 ans), dont
- Godfrey Vassal, baronet Webster (6e), né le 3 juillet 1815, Battle Abbey, Sussex, décédé le 4 mai 1853, Battle Abbey, Sussex (à l’âge de 37 ans).
Marié le 10 juillet 1851, St Paul’s Knightsbridge, London, avec Sarah Joanna Murray, née en 1807, St James, Cornwall, Jamaica, décédée le 19 décembre 1889, Londres (à l’âge de 82 ans). - Augustus Frederick George Douglas, baronet Webster (7e), né le 19 avril 1819, Battle Abbey, Sussex, décédé le 27 mars 1886, Hildon House, Tyherley, Hampshire (à l’âge de 66 ans).
Marié le 31 mai 1862, St Peter’s, Eaton Square, Belgravia, Middlesex, avec Amelia Sophia Prosser Hastings, décédée le 30 avril 1891.
- Nn, né en 1790.
- Henry Vassall, né en février 1793, décédé le 19 avril 1847, London, inhumé, Kensal Green Cemetery, London borough of Brent, London (à l’âge de 54 ans), lieutenant colonel.
Marié avec Grace Boddington, née en 1796, décédée en 1866 (à l’âge de 70 ans), dont
- Henry Boddington, né en 1827, décédé le 12 octobre 1906 (à l’âge de 79 ans).
Marié le 19 mars 1850, Paris, avec Emilie Marie Louisa Wilhelmina von Baumbach, née en 1820, Hesse, Allemagne. - Charles Fox, né en 1828, décédé le 7 décembre 1866 (à l’âge de 38 ans).
Marié en 1856 avec Louisa Alice Frances Calder, née en 1839.
- Harriet Frances, née le 12 juin 1794, décédée le 7 août 1849 (à l’âge de 55 ans).
Mariée le 5 juin 1816 avec Fleetwood Pellew, né le 13 décembre 1789, décédé le 28 juillet 1861, Marseille (à l’âge de 71 ans), amiral de la flotte britannique, dont
- Harriet Bettina Frances, née le 27 octobre 1820, décédée le 9 novembre 1886, Firenze (Italia) (à l’âge de 66 ans).
Mariée le 11 novembre 1841, London (UK), avec Horatio William Walpole, Earl of Orford (4e), né le 18 avril 1813, décédé le 7 décembre 1894 (à l’âge de 81 ans), member of Parliament for Norfolk (1835-1837). - Nn, né en octobre 1795.
Mariée le 6 juillet 1797 avec Henry Richard Fox, Lord Holland (3e), Baron Holland of Foxley (3e), né le 21 novembre 1773, Winterslow House, Wiltshire, England, décédé le 22 octobre 1840, Holland House, Kensington, London, England (à l’âge de 66 ans), pC, chancellor of the Duchy of Lancaster, dont
- Charles Richard, né le 6 novembre 1796, Brompton Park, décédé le 13 avril 1873 (à l’âge de 76 ans), surveyor general of the Ordnance, receiver general of the duchy of Lancaster.
Marié le 19 juin 1824, St George’s, Hanover Square, London, avec Mary Fitzclarence, née le 19 décembre 1798, Bushy House, décédée le 13 juillet 1864 (à l’âge de 65 ans), housekeeper at Windsor Castle. - Stephen, né le 18 janvier 1799, décédé le 22 novembre 1800 (à l’âge de 22 mois).
- Henry Edward, Lord Holland (4e), Baron Holland of Foxley (4e), né le 7 mai 1802, Holland House, England, décédé le 18 décembre 1859, Naples, Italy, inhumé, Naples, Italie (à l’âge de 57 ans), politician, Member of Parliament, secretary of the Embassy.
Marié le 9 mai 1833 avec Mary Augusta Coventry, née le 11 mai 1812, décédée le 23 septembre 1889, Chertsey, Surrey, inhumée, Saint Mawnan and Saint Stephen Church, Mawnan, Cornwall (à l’âge de 77 ans). - Mary Elizabeth, née le 19 février 1806, décédée le 7 décembre 1891 (à l’âge de 85 ans).
Mariée le 22 mai 1830 avec Thomas Atherton Powys, Baron Lilford (3e), né le 2 décembre 1801, décédé le 15 mars 1861 (à l’âge de 59 ans), whig politician, dont
- Adelaide Mary, née en 1832, décédée le 14 février 1873 (à l’âge de 41 ans).
- Thomas Littleton, Baron Lilford (4e), né le 18 mars 1833, décédé le 17 juin 1896 (à l’âge de 63 ans).
Marié le 14 juin 1859, London, England, avec Emma Elizabeth Brandling, décédée le 9 juillet 1884, Acot.
Marié le 21 juillet 1885, Hawthorne Hill, Berkshire, England, avec Clementina Baillie-Hamilton, née en 1839, décédée le 7 avril 1929 (à l’âge de 90 ans). - Edith Galfrida, née en 1835, décédée le 10 février 1864 (à l’âge de 29 ans).
Mariée le 20 avril 1858 avec Thomas Henry Burroughes, décédé le 17 janvier 1924. - Georgiana Caroline, née en 1836, décédée le 7 avril 1897 (à l’âge de 61 ans).
Mariée le 28 avril 1859 avec John Nicholas Fazakerley, décédé le 21 avril 1909. - Leopold William Henry, né le 17 septembre 1837, décédé le 18 juillet 1893 (à l’âge de 55 ans).
Marié le 27 février 1862 avec Mary Acheson, décédée le 30 janvier 1892. - Edward Victor Robert, né le 11 février 1839, décédé le 16 février 1930 (à l’âge de 91 ans), reverend, vicar at Kemsing.
Marié le 8 juin 1865 avec Elizabeth Gwendllian Watkyn-Wayne, décédée le 21 novembre 1870. - Charles James Fox, né le 25 avril 1840, décédé le 14 avril 1893 (à l’âge de 52 ans).
- Mary Elizabeth Frances, née en 1841, décédée le 10 octobre 1908 (à l’âge de 67 ans).
- Constance Emma Augusta, née en 1842, décédée le 3 septembre 1931 (à l’âge de 89 ans).
- Caroline Mary, née en 1844, décédée le 6 avril 1940 (à l’âge de 96 ans).
- Georgiana Anne, née le 7 novembre 1809, décédée en 1819 (à l’âge de 10 ans).
- Ne, née le 24 juin 1812, décédée le 24 juin 1812.